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Lance Armstrong MBTI Personality Type

Lance Armstrong MBTI Personality Type image

Personality

What personality type is Lance Armstrong? Lance Armstrong is an personality type in MBTI, 3w4 - sp/so - 385 in Enneagram, SLUEN in Big 5, LIE in Socionics.

Analyse de Lance Armstrong par l’ennéagramme avec son livre écrit en 2000. Il raconte sa 1ère pensée en réalisant qu’il avait un cancer : « Oh mon dieu, je ne pourrais plus jamais courir. Je vais tout perdre ». La problématique a l’identité et le mensonge à soi-même apparaît dans la suite de sa réflexion : « J’allais au pas, remettant tout en question, mon univers, mon métier, ma personne. Le cancer allait tout changer, je m’en rendais compte. Il ne se conterait pas de faire dérailler ma carrière, il me priverait de mon identité. […] grâce à mon vélo, j’étais devenu quelqu’un. […] Qu’est-ce que j’allais devenir si je n’étais plus Lance Armstrong, cycliste de niveau international ? » Petit, il voulait une vie compétitive et être un winner : - « J’étais fermement décidé à me trouver un sport où je pourrais montrer ce dont j’étais capable […] J’ai dit à ma mère : je serais un champion » - Il commença par le triathlon. Sa mère dit : « Tu y mettais vraiment tout ton cœur ». - Il raconte ses premiers triathlon à 13 ans : « J’ai gagné, et de loin. Sans entrainement. Peu après, il y a eu un autre triathlon à Houston. Je l’ai gagné aussi. En revenant de Houston, je débordais de confiance en moi. […] Peu importe la discipline : dans une course de fond où il suffisait de foncer, j’étais capable de battre n’importe qui » - A 15 ans, il participe au triathlon du Président : « J’ai terminé 32ème, à la grande stupéfaction des autres concurrents et spectateurs, qui n’arrivaient pas à croire qu’un gosse de 15 ans ait pu tenir toute la course sans abandonner. Mon exploit m’a valu quelques lignes dans la presse. J’ai dit à un reporter : vous verrez, dans quelques années j’approcherai du sommet, et dans 10 ans j’y serais. Mes amis m’ont trouvé d’une suffisance désopilante. (l’année suivante, je terminais 5ème). » Lance est sensible au système de récompense : « La prime n’étais que de 100 $ ? Aucune importance. Pour la rafler, j’aurais arraché les jambes des autres concurrents » Pour un 3 qui est un émotionnel, la définition du moi n’attend pas. Naturellement Lance veut réussir et vite ! « La compétition cycliste se divise en plusieurs niveaux qui sont hiérarchisés en 4 séries. La série 1 correspond au niveau le plus élevé. Les critériums du mardi soir étaient des épreuves de niveau 4 ; je n’avais qu’une envie : prendre du galon. Pour ça il faut engranger les résultats, remporter un certain nombre d’épreuves. Moi j’étais trop impatient. J’ai réussi à convaincre les organisateurs de faire une exception, de me laisser courir en série 3 et me mesurer au groupe le plus mûr et le plus expérimenté […] J’ai gagné la course. C’était plus fort que moi, j’ai ratatiné les autres concurrents ». De même, son centre instinctif en support lui fait adorer la vitesse : « je ne fais rien lentement, pas même respirer. Je fais tout vite, je mange vite, je dors vite, je parle vite ». Une fois le diagnostic de son cancer fait, Lance était pressé de s’en sortir : « je voulais me soigner sans attendre ». Il évite les échecs par une grande quantité d’entrainement : « tous les jours en sortant du lycée, je courais un 10km. Ensuite je sautais sur mon vélo et je pédalais jusqu’au soir » Il réprime le mental. Au championnat du monde junior 90 : « j’étais une boule d’énergie brute, il ne me serait même pas venu à l’esprit que je puisse m’économiser, adopter une tactique » Pour être recruté à Motorola, il dira : « je veux être le meilleur coureur de mon temps. Je veux faire une carrière professionnelle en Europe. Je ne veux pas me contenter d’être bon, je veux être le meilleur ». Lance est vaniteux : - « J’avais à peine empoché les sommes gagnées en triathlon que je m’achetais une petite Fiat rouge d’occasion. Je la conduisais à toute blinde dans les rues de Plano… sans permis. […] J’ai réussi un exploit dont mes anciens copains n’ont pas encore fini de s’étonner » (il s’est faufilé entre 2 voitures dans un espace restreint). - « Quand mes copains s’étaient fait offrir leur voiture nerveuse par papa-maman, moi j’avais payé la mienne avec mon fric » - Au début de sa carrière il dit qu’il était « incapable de dresser le bilan d’une course. Pour moi, ça se résumait à : j’ai été le meilleur, ils n’ont pas pu me suivre. » Ce qui a motivé son retour après son cancer est le regard du public sur lui : « - Lance, aux yeux du public, tu resteras le type qui a eu le cancer et qui n’est jamais remonté sur un vélo. Voilà ce que tu seras. - En effet, ais-je dis. Je ne peux pas m’en aller comme ça » Ce souci d’image est manifesté aussi au moment de la découverte de son cancer en 96. Il n’ose pas déranger son médecin : « je me suis dit : il va me prendre pour une mauviette et j’ai gardé mes problèmes pour moi ». Pendant son cancer également, il dit qu’il « voulait épater la galerie […] Quand quelqu’un demandait : Comment va Lance ? Je voulais que mes amis puissent répondre : Bien, apparemment il a repris le vélo ». Identification avancée : Lance est un 3 alpha

Biography

Lance Edward Armstrong (born Lance Edward Gunderson; September 18, 1971) is an American former professional road racing cyclist, infamous for the biggest doping scandal in cycling history. From 1999, Armstrong won seven consecutive Tour de France titles. He was later stripped of the titles due to doping and barred. At age 16, Armstrong began competing as a triathlete and was a national sprint-course triathlon champion in 1989 and 1990. In 1992, Armstrong began his career as a professional cyclist with the Motorola team. He had notable success between 1993 and 1996 with the World Championship in 1993, the Clásica de San Sebastián in 1995, Tour DuPont in 1995 and 1996, and a handful of stage victories in Europe, including stage 8 of the 1993 Tour de France and stage 18 of the 1995 Tour de France.

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